Archives pour la catégorie ‘Ma vie de rockstar’

À New York, quand la fenêtre est ouverte, ça sent les frites

8 mars 2011

Extrait du journal de bord du Capitaine Sandwich – 7 mars 2011

Dans le métro, une femme a voulu me tuer.

Je rejoignais Raph, Seb et Manue sur Broadway et une femme est rentrée dans le métro en parlant toute seule. Le groupe d’American gangstas qui se tenait par là a commencé à rire discrètement, puis moins discrètement, ne l’arrêtant pas dans son monologue jusqu’à ce qu’ils descendent. À ce moment là, elle s’est approchée de moi, dans mon coin de banc, m’a regardé dans les yeux et a commencé à me parler de dealer du crack.

Je pensais qu’elle me racontait sa vie et j’ai voulu l’arrêter pour lui dire qu’elle était tombé sur le mauvais psy puisque je comprenais un mot sur cinq, mais elle ne m’en a pas laissé l’occasion, et j’ai fini par comprendre qu’elle parlait de moi : « I wanna hurt you, I’m gonna kill you, I see BLOOOOD ». Je la regardais dans les yeux et j’attendais qu’elle finisse de me postillonner dessus. « Just make a sign, and I fucking kill you ». Toi tu as oublié tes calmants. Elle est descendue à la 23e rue en finissant sur un « cut your FUCKING HEAD OFF ! ».

***

Voilà ce que je fais de mes journées de travail en ce moment :

Ce que vous voyez à l’écran, c’est que je bosse pour Britney Spears. Ce que vous ne voyez pas à l’écran, c’est que je bosse pour l’iPhone.
 

Extrait du journal de bord du Capitaine Sandwich – 7 mars 2011

Au bout de quelques minutes, l’une d’elles nous demande si on est au courant que toutes les Américaines vont tomber amoureuses dès qu’on ouvrira la bouche. Je lui demande si elle nous dit ça parce qu’elle est déjà amoureuse de nous. « Well, actually yes I am. »

***

(J’adore vous mettre l’eau à la bouche en ne copiant que les extraits qui me font passer pour une sexbomb impassible devant les menaces de mort métropolitaines.)

Je tourne la tête vers la gauche, et à la fenêtre j’aperçois l’Empire State Building s’illuminer de bleu.

2 mars 2011

Journal de bord du Capitaine Sandwich – 27 février 2011

On dirait que je me suis pas encore fait au décalage horaire. En bas de l’ordinateur de Raph, il y a marqué 13h37, sur mon nouveau téléphone : 7h37. Hier soir, je me suis réveillé dans le canapé et Seb me demandait en slip si je voulais qu’il éteigne la lumière : ma sieste d’avant diner s’était terminée à minuit moins vingt.

Et là, j’ai rêvé que j’avais une nièce. J’ai aussi rêvé d’une fête de famille sans alcool où on s’emmerdait à crever et de notre directeur pédagogique me montrant une explosion de missile dans les locaux de l’école, mais j’ai rêvé que j’avais une nièce.

Ce genre de rêve où quand on se réveille, on est un peu triste que ce soit pas vrai. Je sais de quelle soeur en plus, je vais pas le dire pour pas leur foutre la pression les pauvres. Parce que je débats à vos côtés quand on doit expliquer à maman pourquoi on veut pas de gosses. Qui voudrait élever un gamin dans ce monde de merde ? Croyez pas que je déprime, je suis au meilleur de ma forme, mais c’est vrai. Tout part en couille, on n’arrête pas de nous rabacher que si c’est pourri maintenant ce sera pire après. Et puis je me dis déjà en voyant des gens qui ont 3 ans de moins que moi que leur génération est bousillée par le portable, skyblog et facebook, alors une génération qui aurait 21 ans de moins que moi, n’en parlons pas.

N’empêche que j’avais une nièce, et c’était cool. Elle avait 5 ans. Elle était super intelligente. Elle me parlait de son psy. Peut être même qu’elle fumait.

***

J’avais oublié de vous montrer ça, ça m’a valu d’être à moitié sélectionné pour le projet de fin d’études, l’autre moitié étant mon frère d’adultère et désormais co-auteur, on ne le présente plus : Thibaud. Et une équipe de choc composée de Jérémi, Tristan, Gaël et nous deux (vous avez pu les apercevoir en guest stars ici ou ).

Ah, et puis, je dis ça comme ça hein, mais je suis à New York.


Une belle journée

5 février 2011

Aujourd’hui, je me suis réveillé aux alentours de midi. Un samedi habituel. J’ai regardé par la fenêtre, et j’ai su que j’avais la pêche.

C’est marrant, mais mon moral dépend moins de ce qu’il se passe de bien ou de mal dans ma vie que du temps qu’il fait dehors. Et aujourd’hui, le temps est parfait.

Tellement parfait que ma première action de la journée fut de prendre un bain en écoutant DJ Champion. Chose qui fout la patate s’il en est.

Et tellement parfait que je suis sorti de chez moi sans but précis. Et ça mes amis, c’est rare. Je suis sorti, et j’ai marché dans les rues d’Arles, le soleil caressant ma peau de ses rayons dorés, et la légère brise faisant onduler délicatement ma chevelure d’ange. Le temps de fin d’hiver qui donne envie d’ouvrir sa fenêtre alors que le radiateur chauffe, celui qui nous pousse à ressortir deux heures plus tard alors que vraiment, il serait temps de travailler, pour aller écouter la fanfare qui joue sur la place du Forum et qu’on entend de chez soi.

Une belle journée.

Je suis rentré, et j’ai lu ça : les petits interprètes. Attendez qu’il pleuve pour le lire. Au moins, ça ne vous gâchera pas la journée.

Vomi, censure et papa noël

1 janvier 2011

Ce matin, je me suis levé à 13h15, et j’ai vomi dans la nuit. Un vrai réveillon comme on les aime. À cela près que j’ai bu une bière au cours de ma soirée et que je suis rentré chez moi aux alentours de 1h30. Saloperie de Pizzas Lucette.

Mais au final, régurgitations de pizzas exclues, il était bien mon nouvel an. On était trois et on a maté un dvd très marrant (The Kentucky Fried Movie). Une soirée dvd pour le nouvel an. Pourtant, et ce malgré mon statut d’artiste incompris, je ne suis pas un anti-réveillon. C’est le réveillon qui est anti-moi. Il y a un an, je suis tombé malade le 31 et j’ai passé minuit dans une camionnette au milieu d’un champs en écoutant Pink Floyd. On était trois. On est souvent trois. Ça permet de s’en rappeler : il y a deux ou trois ans, c’était une répèt chez moi. On était trois. Quatre en fin de soirée.

Mais je m’en souviens, c’étaient de bons réveillons, certainement plus que ceux où on se force à faire la fête en se pochetronnant avec des inconnus.

 
Mais ce n’est pas de ça que je voulais vous parler. Je voulais vous parler de LOPPSI. LOPPSI, c’est une loi, qui existe, et à laquelle l’Assemblée vient d’ajouter un article. Un article qui permet de censurer internet en France. Je vois dans vos yeux que vous êtes sceptiques et attribuez ces phrases accrocheuses et alarmantes à une trop grande présence du gauchisme chez ma personne. Et bien allez vous instruire, mécréants :

 
Troisième chose : Noël. Chaque année, je publie ici le 25 décembre un père noël que j’ai dessiné, et m’aperçois une semaine plus tard qu’il est très très moche et que je n’aurais jamais du le poster. Et bien cette année, j’ai décidé de commencer par attendre une semaine, et je peux donc vous le montrer en toute connaissance de cause (ou de mocheté en l’occurrence).

Cette année nous avons donc ceci :

Ainsi que ceci :

Bonne et heureuse année à tous.

Speed clementing

11 octobre 2010

Mais non, bien sur que non, mon dernier post n’était pas l’annonce de la fermeture de ce blog. Je sais bien, le fait de ne pas pouvoir y accéder à la fin du mois de septembre a pu vous faire frissonner, mais c’était uniquement du au fait que je préférais attendre que mon hébergeur soit obligé de rouvrir mon compte en octobre plutôt que payer ma facture de bande passante à temps. La rumeur est allée très loin, j’ai même reçu des menaces, de gens que je croyais être de très bons amis ! Mais bien heureusement, ce n’est pas la fin.

Aujourd’hui, regardons des images. Vous avez pu apercevoir, dans les nombreuses occupations qui m’empêchaient de tenir ce blog à jour, la pratique du speed painting. Mais qu’est ce que le speed painting, se demandent les novices en la matière ? Et bien tout simplement une peinture, de paint (windows 95) que l’on exécute rapidement, de speed (sandra bullock). Sentant que mes dernières vannes ne seront comprises que de moi, et encore, je vais tout de go passer à la démonstration :

Bien. Donc pour finir sur le speed painting, c’est comme ça qu’on appelle les peintures numériques réalisées, selon CFSL.net – référence en la matière – en moins de trois heures. Heu perso je trouve que mettre 3 heures à faire un speed painting c’est un peu comme bien manger au resto U, c’est à dire une remise en question du concept même. C’est pourquoi j’essaie de faire ces trucs en approximativement une heure.

Et plus récemment, on a eu une semaine de rendu. Alors une fois de plus uniquement pour les sales néophytes qui trainent sur mon blog, qu’est ce que le rendu ? Attention il va falloir retenir parce que quand je dis que j’aime pas spécialement l’anim 3d alors que je suis dans une école d’anim 3d on me regarde bizarrement, voire on me frappe violemment quand on est mes parents et qu’on paye l’école en question. Et bien non ce n’est pas grave, parce qu’on englobe souvent à tort sous le terme « Animation » toute la création d’un film d’animation. Or l’animation, et bien croyez le ou non, ça consiste uniquement à animer. Avant d’animer, il y a plein d’étapes, et il y en a encore plein après. Par exemple, la modé. Ou « modélisation » si tu veux montrer aux gens autour de toi que tu n’es pas in. La modé consiste à créer l’objet à partir de rien. « Rien ne se perd, rien ne se crée », mon cul : rien ne se crée à part une clémentine en 3d, et rien ne se perd à part cette même clémentine après une coupure de courant.

La modé, c’est ça :

C’est dégueulasse hein ? Et bien le rendu, c’est transformer cette infamie en ceci :

« Il est foooort ! »
« Il est beau !! »
« Qu’attendons-nous pour lui offrir notre corps ? »

Merci.

À moi Hollywood

5 juillet 2010

Heeey buddies !

Long time no see, comme on dit aux Amériques. Mais vous n’allez pas être déçus du voyage, puisque je reviens avec non pas un mais DEUX films en 3D. Qui comptabilisent à eux deux plus d’une minute 10 d’animation pure !

L’efficacité est le maître mot de ce blog, je vous propose donc de commencer dès maintenant avec le fruit d’une année de dur labeur. Enfin surtout les trois mois de réa en fait, avant c’était pépère. Volutes et volupté, donc (cliquez sur le bouton Vimeo pour le voir en HD) :

Voilà voilà, j’encourage ceux qui ne l’avaient pas vu à me dire ce qu’ils en pensent, et surtout à me mettre des like sur vimeo pour que je devienne une star de l’internet.

Mais comme prévu, ce n’est pas fini, puisque nous avons eu notre examen de fin d’année qui consistait à élaborer un jingle de 10 secondes exactement en quatre jours, sur le principe des jingles de pub TF1. J’ai choisi le thème de Las Vegas.

Des putes, de la coke et mourir.

Parlons un peu du poissonage

9 mars 2010

Haha non je déconne, c’est pas demain la veille qu’on me fera tomber. Enfin je dis ça, c’est pas tout à fait vrai : vous avez peut être remarqué que mon site fermait sans prévenir ces temps ci. Et bah c’est bel et bien parce que je me fais hacker la gueule.

Mais laissez moi vous raconter. J’étais au ski, pépère, quand mon téléphone sonne. Numéro inconnu. Je me dis ça doit être une des entreprises à qui j’ai fait une demande de stage, trop bien, je décroche.

« – Allo ?
– Hi how are you doing ?

Hmm. J’aime pas ça. Bon allez, j’ai aussi demandé à des boites Anglaises, je vais pas lui dire de retourner bouffer des gelées dégueulasses et rouler à gauche tout de suite. En plus il a un accent Russe, il pourrait me tuer.

– Heu fine thank you.
– Do you speak English ?
– Un p’tit peu que je speak English mon pote
– Yeah so your website has been hacked.. gnagna… I need you to delete this page for me.. gnagnagna… Would you do this please ?
– Heu bin là I’m skiing pour l’instant, but tomorrow maybe.
– Okay I sent you an email with all the instructions, goodbye sir !
– Heu goodbye. »

Là je me suis dit c’est le début de la fin. Y a des mecs qui m’appellent quand je suis au ski en parlant rosbeefo-russe pour me demander de supprimer des trucs sur mon propre site qui a été hacké. J’ai même pensé que c’était le hacker qui m’appelait pour me demander une rançon.

En fait pas du tout. Le lendemain, j’avais effectivement un mail de la FraudWatch International département Security Operations Center, qui me disait que j’avais été phishé. En gros, un connard a trouvé une faille sur mon blog pour héberger une fausse page de paiement en ligne pour la Bank of America sur mon site, et un encore plus gros connard a pas trouvé bizarre de donner son numéro de carte bancaire sur un site qui s’appelle mr-sandwich.com.

Et maintenant, c’est un peu devenu la routine : je reçois un mail du FBI, je supprime les fichiers qu’ils me demandent, mon hébergeur s’énerve et ferme mon site, je les engueule et leur promets de plus recommencer, et ça repart. Alors je pense savoir dans quel fichier est la faille, et ce serait celui des commentaires. Du coup je vais essayer de couper les commentaires un moment, et on verra si ça continue.

Pis comme ça vous pourrez pas gueuler parce que je poste une fois tous les trois mois.

Ça y est

28 janvier 2010

Enfin. Le rêve de tout une vie. Le fric. Les putes. La coke.

Mais avant de vous raconter à quel point je suis une star, je vais vous raconter à quel point je suis un artiste.

L’autre jour, il était 1h du mat, Thomas m’appelle, il me dit « Mec, regarde par la fenêtre ». « Tu vas dire what the fuck », qu’il me fait. Je remonte mon store, et que vois-je de mes yeux innocents ? Une tempête de neige. Je lui fais « What the fuck ».

Pour les gens du futur qui liront ça dans 2000 ans et ne comprendront pas pourquoi c’est étonnant, il a pas neigé depuis un mois et y avait un ciel bleu toute l’aprem. Bon moi je suis surpris, mais je suis aussi artiste, dans l’âme je veux dire.

Et me voilà, clopin-clopant dans les rues d’Arles, à une heure et demi du mat, pour prendre des photos sous la neige. Mon index en est encore bleu.

Bien.

Passons à mon coté star. Je suis en voiture avec Thibaud et Thomas, ces deux gays lurons, quand soudain la sonnerie de mon cellulaire retentit. Numéro inconnu, je décroche. Et là je crois reconnaitre la voix de con de mon pote Jonathan. Il me fait genre « Oui Camille Perrin ? » moi j’y fais « Ouuuuiiiii..? ».

« – Oui je vous appelle pour Envoyé Spécial sur M6…

Bon ça va ducon je t’ai reconnu

– Heouuuuuuuiiiiiiiiiii……?
– Oui on a vu votre CV vidéo sur internet, on fait une émission sur les jeunes diplomés en fait…

Jonathan a jamais vu mon CV.
C’est vraiment Envoyé Spécial. Ah les cons.

– Ah heu heuuu je peux vous rappeler dans 5 minutes éventuellement ? »

Ce qui est marrant c’est qu’il y a deux jours j’ai Googlisé mon nom, et j’ai encore trouvé un site où ils en parlaient de ce CV. Il a un pouvoir rétroactif en fait. Je pense que dans deux ans il sera dans le top 10 des meilleurs films du monde d’allociné.

Bref, le con cherchait des jeunes diplômés pour son émission ; je suis qu’en troisième année, je passerai pas à la télé. Je pense que c’est pour le mieux. Préservons mon innocence encore quelques temps avant d’être plongé de force dans ce monde féroce qu’est le show business.

Sinon Lucas m’a fait un Black en costard. Lucas aussi c’est un artiste. J’ai pas compris tout de suite le dessin. La tête est en bas.

Merci Lucas !

Et enfin, le fameux jingle dont je vous ai parlé y a 6 ans en vous montrant les stickers que j’avais fait. Bah ça y est, on l’a, il a été diffusé au festival mondialement connu de Baillargues. Le son est dégueu et c’est blindé de bugs que j’espère vous ne remarquerez pas. Cliquez sur HD puis « Watch this video in High Definition on Vimeo » si comme moi, vous aimez vous prendre des pixels plein la gueule.

 
Je me disais qu’il fallait que vous le voyiez avant de vous montrer mon showreel…

 
…Bah vous voyez, ce genre de phrase, dans deux ans, ça déclenchera ça.

Mais vous… Vous vous savez même pas ce que c’est un showreel.

Les blacks, le travail, les illuminatis tout ça

22 janvier 2010

Bonne année !

J’ouvre mon post mensuel avec grande honte. En effet, à la soirée de noël de Supinfocom, c’est Paolo qui était chargé de m’offrir un cadeau, et je lui ai promis une publication imminente de ce dernier. Oui mais voilà. C’était sans compter mon projet de réécriture du dictionnaire. Il se trouve que ce jour là, le mot auquel j’avais envie de donner une toute autre définition était « imminent ».

Donc un mois plus tard, le voilà, le Black en costard de Paolo :

Et parce qu’il est inhumainement généreux, le deuxième Black en costard de Paolo, trônant fièrement à côté de celui que j’avais modelé en prépa :

Merci Paolo !

Mais c’est pas fini, parce qu’il y a un nouveau qui m’en a fait un parce qu’il est nouveau et qu’il veut se faire des amis.

Mais comme il est nouveau il est pas encore à notre niveau à nous les anciens, du coup il aimait pas ce qu’il avait fait et m’a refait un Bloc en costard.

Une ovation pour Seb mesdames et messieurs !

Mais je ne me contenterai pas d’exploiter mes camarades pour poster sur ce blog comme je l’ai eu fait auparavant. Voici donc quelques images concernant la conception de mon film, pas trop pour pas vous spoiler la gueule.

Au menu, un colour board, le début de modélisation de mon perso et des recherches sur la femme fumée. Vous noterez que colour board est une expression qui n’existe pas vraiment mais qui respire la classe.

Rorschach

2 décembre 2009

Ça c’en est un titre compliqué. Ça fait une semaine et demi que tout le monde me demande « Hé toi là, le beau gosse, tu fais qui comme perso ? », et que je bafouille un truc qui ressemble plus ou moins à « Rochache ».

Le test des Rorschach, mes amis, est bien connu des psychologues puisqu’il s’agit des images représentant des tâches symétriques dans lesquelles on voit le plus souvent un papillon. Monsieur Rorschach en est son inventeur, et également un personnage de Watchmen qui a ce test là sur la gueule.

Donc voilà, deux gros turns à l’ancienne.

Le deuxième est plus rapide, mais vous comprendrez qu’à coups de 9 minutes par image calculée, ça revient vite à 10 heures le turn.

Et là vous vous dites, mais diantre, quelle est cette nouvelle animation de chargement ? C’est complètement funk, j’en veux plus ! Comme je vous comprends.

Je vous invite donc à vous rendre sur mon nouveau portfolio à l’adresse suivante : www.mr-sandwich.com, et à danser toute la nuit durant pour fêter ça.