Flemme… Flemme, cruelle duchesse porteuse d’inaction inhérente à mon activité… Ouais, en ce moment j’ai une grosse flemme bien grasse, et j’avais envie de commencer cet article par une phrase super classe qui veut rien dire.
Donc ne vous inquiétez pas, surtout pas, ce blog ne fermera pas sous prétexte que son propriétaire baille aux corneilles. C’est juste que j’ai été piqué par une grosse loque rampante et que du coup je me transforme à mon tour peu à peu en grosse loque.
Alors pour me remettre dans le bain, je me suis dit que le mieux était de revenir aux bases, à la source, au Black en costard.
En cette veille d’exams, je me dis que ce serait plutôt cool de ma part de vous faire un petit plaisir en vous montrant mes derniers travaux.
Donc sans fioriture, on attaque direct avec du gros, avec du lourd, avec du magnifique, avec du Black en costar !
Voilà, donc celui là est animé, il danse et imite les autistes, vous verrez c’est super.
Voilà, c’est tout. Et oui c’est tout, car je sais que c’est ce que se disent ceux qui n’ont jamais essayé d’animer un Black en costar sous Flash. Et bien à ceux là, je leur rirai à la gueule.
Ensuite on a un sujet de conception d’image. Alors là le principe c’était de faire un plan séquence, un genre de story board avec toujours le même plan, où on voyait quelqu’un se préparer à partir en vacances et se faire déranger par un élément perturbateur, et ce en 8 à 12 images.
Moi y en a 10 et j’ai choisi une rockstar. Si rien ne s’affiche, attendez ou téléchargez Flash Player, ensuite cliquez sur l’image pour faire avancer.
Je précise que le prof ne s’attachait pas à la qualité du dessin mais uniquement à l’histoire. Si vous avez rien pigé, en fait y a des groupies qui le harcèlent pendant qu’il se prépare pour aller à la plage, jusqu’à ce que ça forme une véritable foule qui lui court après et lui arrache ses vêtements, pour qu’il se retrouve finalement presque comme il l’avait prévu au départ : dans son bateau gonflable, en callebut, au beau milieu d’une marée humaine.
Et on enchaîne avec notre dernier sujet d’expression plastique où il fallait dessiner une scène avec au minimum trois personnages, au pastel sec sur une feuille colorée. J’ai fait ça dans les années 50 et sur une feuille de 65×33 cm si mes souvenirs sont bons. Et vous pouvez cliquer dessus en prime.
Et enfin, le tant attendu CV vidéo, même si la majorité de mon public l’a déjà vu.
À la prochaine, et souhaitez moi bonne chance pour les quatre jours à venir. De toute façon si vous le faites pas je serai viré, je raterai ma vie et je devrai revendre mon ordinateur pour acheter de l’alcool dans lequel je noierai ma détresse. Résultat vous aurez plus de posts, et vous serez bien avancés.
Y a pas longtemps, on a commencé à apprendre Illustrator. Même qu’au début j’aimais pas. Pour ceux qui savent pas (parce que certains savent, je vous assure), Illustrator c’est du vectoriel. Et qu’est-ce que le vectoriel, me demanderez-vous ?
Je ne répondrai pas à cette question.
Non je déconne, je vais y répondre quand même, même si tout le monde s’en fout. Donc c’est le contraire du bitmap, c’est à dire des images avec des pixels. Là tout est mathématique, c’est à dire qu’on fait des « tracés » avec des courbes calculées mathématiquement (vous savez, ce qu’on faisait en terminale avec les tangentes et toutes ces conneries inutiles). Et l’avantage, c’est qu’on peut zoomer tant qu’on veut, on verra jamais un pet de pixel. Yahou.
L’inconvénient, c’est que pour la voiture que vous venez de voir, ça m’aurait sûrement pris moins de temps de la construire et de la prendre en photo.
Haha, non, je déconne encore, décidément je suis d’humeur déconneuse ce soir. Non surtout qu’à la base, j’avais quand même une photo, ne me prenez pas pour plus ouf que je ne suis. Pour info c’est une Audi RSQ, la bagnole de Will Smith dans I, Robot. Will si tu passes par là, I kiffe you.
On continue, toujours dans le vectoriel, avec quelque chose de moins impressionnant mais que vous connaissez tous : mon Black et costard. Je suis pas près de le lâcher celui la, il sera même dans mon film de fin d’études, mais chut, il faut pas spoiler.
Ensuite on repasse à du bon vieux pixel à l’ancienne, avec du matte-painting. Mais qu’est ce que le matte painting, me demanderez-vous ? Je ne répondrai pas.
Et pour ne pas faire deux fois la même vanne, cette fois je ne répondrai vraiment pas.
Et enfin, mon sujet de photo : illustrer un lieu en exprimant l’écoulement du temps, ou quelque chose dans le genre. J’ai choisi ma cuisine. Merci à Michel, Dominique et Stéphanie Perrin, à Paul Terrier et à Gypsie pour la figuration.
Cliquez pour avancer, ou téléchargez Flash player si rien ne s’affiche :
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Maintenant vous pouvez aller voir le blog de Thomas, qui personnellement me fait bien marrer et qui a la qualité non négligeable d’être de gauche.
Et pour ceux qui n’arrivent plus à suivre mon rythme effréné de mise à jour, sachez que si vous descendez un peu, vous aurez un super article sur le ski.
